Terre de parfum
“Le coup d’oeil est souvent trompeur, pas le coup de nez”
Philippe Sollers
Histoire
400 ans de parfumerie
L’industrie de la parfumerie commence à Grasse il y à près de 400 ans. Sous l’influence de Catherine de Médicis et de sa cour, et dans le prolongement de la renaissance Italienne, la France du XVII ème siècle se met au parfum. Grasse, ville de tanneurs commence alors à parfumer les gants en peau de mouton qu’elle produit. Cette nouvelle activité rencontre rapidement le succès auprès de toutes les cours d’Europe et permet à la ville de connaitre un essor sans précédent.
Le micro climat qui règne sur ce balcon sur la Méditerranée particulièrement propice à la culture des plantes à parfum, permit à la production de s’étendre progressivement sur plusieurs milliers d’hectares. Rose, Tubéreuse, Fleur d’Oranger, Violette, Mimosa, lavande, myrte, et l’emblématique Jasmin s’épanouirent sur ces terres fécondes où les distilleries se multiplièrent. Au fil du temps les techniques d’obtention des essences à parfums se sont perfectionnées et tout un écosystème riche et varié s’est constitué autour des besoins du secteur de la parfumerie. En 2018, la ville à obtenu une consécration attendue de la part de L’UNESCO qui a classé ses savoir-faire liés au parfum, au patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Une reconnaissance immense pour les générations qui ont travaillé pour bâtir cet héritage et l’histoire Mondiale de la Parfumerie. La dynamique de l’industrie grassoise ne s’est jamais démentie et connait de nos jours une nouvelle vigueur avec la présence sur son territoire de grands groupes de luxe tels que Chanel, ou LVMH, mais également un pôle de recherche universitaire lié au parfums, le dynamisme de dizaines d’entreprises de parfumerie, et de plus en plus d’agriculteurs qui sous l’égide de l’association Les Fleurs d’Exception du pays de Grasse, cultivent en bio les plus belles essences florales. Nul part au monde il n’est possible de rencontrer une telle concentration de savoir-faire liés au parfum.
L’industrie de la parfumerie commence à Grasse il y à près de 400 ans. Sous l’influence de Catherine de Médicis et de sa cour, et dans le prolongement de la renaissance Italienne, la France du XVII ème siècle se met au parfum. Grasse, ville de tanneurs commence alors à parfumer les gants en peau de mouton qu’elle produit. Cette nouvelle activité rencontre rapidement le succès auprès de toutes les cours d’Europe et permet à la ville de connaitre un essor sans précédent.
Le micro climat qui règne sur ce balcon sur la Méditerranée particulièrement propice à la culture des plantes à parfum, permit à la production de s’étendre progressivement sur plusieurs milliers d’hectares. Rose, Tubéreuse, Fleur d’Oranger, Violette, Mimosa, lavande, myrte, et l’emblématique Jasmin s’épanouirent sur ces terres fécondes où les distilleries se multiplièrent. Au fil du temps les techniques d’obtention des essences à parfums se sont perfectionnées et tout un écosystème riche et varié s’est constitué autour des besoins du secteur de la parfumerie. En 2018, la ville à obtenu une consécration attendue de la part de L’UNESCO qui a classé ses savoir-faire liés au parfum, au patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Une reconnaissance immense pour les générations qui ont travaillé pour bâtir cet héritage et l’histoire Mondiale de la Parfumerie. La dynamique de l’industrie grassoise ne s’est jamais démentie et connait de nos jours une nouvelle vigueur avec la présence sur son territoire de grands groupes de luxe tels que Chanel, ou LVMH, mais également un pôle de recherche universitaire lié au parfums, le dynamisme de dizaines d’entreprises de parfumerie, et de plus en plus d’agriculteurs qui sous l’égide de l’association Les Fleurs d’Exception du pays de Grasse, cultivent en bio les plus belles essences florales. Nul part au monde il n’est possible de rencontrer une telle concentration de savoir-faire liés au parfum.